L’Iznogoud de Laurence Olivier se surpasse avec cette transposition xixe et néanmoins rococo du grand tube shakespearien. Version exhaustive, s’il vous plaît, mais surtout prétexte à une débauche de cavalcades d’acteurs s’efforçant de couvrir plus de kilomètres encore que la caméra. On se gausse, mais comme dans le Frankenstein du même, une telle surenchère, certes […]
L’Iznogoud de Laurence Olivier se surpasse avec cette transposition xixe et néanmoins rococo du grand tube shakespearien. Version exhaustive, s’il vous plaît, mais surtout prétexte à une débauche de cavalcades d’acteurs s’efforçant de couvrir plus de kilomètres encore que la caméra. On se gausse, mais comme dans le Frankenstein du même, une telle surenchère, certes monstrueuse, n’est pas sans produire parfois des effets, atteignant à la poésie involontaire d’un cinéma bis gonflé aux stéroïdes. Soit de la série Z avec des moyens de série A. Du cinéma ter ?
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