Julian Palmer, un internaute passionné de cinéma nous propose dans ce supercut une analyse de la façon dont Quentin Tarantino met en scène la violence dans ses films. Cet essai plutôt intéressant débute par une citation de Bret Easton Ellis qui cite lui-même Godard qui disait à propos de la violence dans ses films, “c’est […]
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Julian Palmer, un internaute passionné de cinéma nous propose dans ce supercut une analyse de la façon dont Quentin Tarantino met en scène la violence dans ses films. Cet essai plutôt intéressant débute par une citation de Bret Easton Ellis qui cite lui-même Godard qui disait à propos de la violence dans ses films, « c’est pas du sang, c’est du rouge ». Il est vrai qu’on trouve chez Tarantino cette même approche esthétique de la violence qui est souvent déréalisée jusqu’à parfois atteindre le burlesque d’un opéra sanglant et farcesque.
L’analyse dresse aussi un pertinent parallèle entre le sexe et la violence qui sont mis en scène chez Tarantino de la même manière: plus les préliminaires sont longs, plus l’orgasme est fort.
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