Au seuil d’En attendant la neige, un hommage au générique du Cinéma cinémas de notre (leur ?) adolescence. Derrière la porte ouverte par un Lemmy Caution en short rouge satiné, le télescopage des arts martiaux et d’une certaine tendance années 80 du cinéma français. Ovni claudicant et fauché, ce premier film affichant un refus intransigeant […]
Au seuil d’En attendant la neige, un hommage au générique du Cinéma cinémas de notre (leur ?) adolescence. Derrière la porte ouverte par un Lemmy Caution en short rouge satiné, le télescopage des arts martiaux et d’une certaine tendance années 80 du cinéma français. Ovni claudicant et fauché, ce premier film affichant un refus intransigeant du naturalisme et une naïveté plutôt gonflée parvient brièvement à forcer notre sympathie masochiste. Très brièvement. Lestée d’une constellation de casseroles (direction d’acteurs flottante, lumière atroce), l’entreprise tourne vite à la cata, pour se crasher dans le jardin des Plantes. Laisse tomber (la neige).
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