En VO, le film s’intitule Bram Stoker’s Dracula. Cela n’empêche pas Coppola de trahir le roman original quand ça lui chante. Outre sa métaphore très convenue du sida, le cinéaste, un brin pédant, assimile vampirisme et cinéma (on voit un jeune Dracula très pop-star hanter les premières salles de projection à Londres). Plastiquement, c’est somptueux, […]
En VO, le film s’intitule Bram Stoker’s Dracula. Cela n’empêche pas Coppola de trahir le roman original quand ça lui chante. Outre sa métaphore très convenue du sida, le cinéaste, un brin pédant, assimile vampirisme et cinéma (on voit un jeune Dracula très pop-star hanter les premières salles de projection à Londres). Plastiquement, c’est somptueux, mais dans le style pompier. Coppola dénature le genre en lui donnant un air cossu et chatoyant. Seul le personnage de dingue joué par Tom Waits vaut le détour.
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