Une relecture SF des Mille et Une Nuits avec François Berléand. Gênant.
Quelque part dans un futur proche, un condamné à mort repousse l’heure de son exécution en éternisant ses confessions.
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Chaque soir, il reproduit le même rituel, racontant des bribes de son passé – une enfance martyrisée et une longue solitude qui l’ont poussé au crime – dans un dernier aveu dont les médias ne vont pas tarder à s’emparer.
« Condamné par la loi, sauvé par le public », clame la tagline de cette navrante relecture SF des Mille et Une Nuits dont on ne sait toujours pas ce qui, de la mise en scène informe, de la direction artistique hyper cheap ou des numéros d’acteurs cabotinant (Patrick Ridremont, aussi réalisateur, et François Berléand), relève le plus de l’aberration.
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