Adaptation d’un fameux manga de Ryôichi Ikegami, mais aussi hommage à The Killer de John Woo, lui-même hommage au Samouraï de Jean-Pierre Melville. Les poupées russes rétrécissent, tant et si bien qu’il ne reste plus beaucoup de matière dans ce film ambitieux et cohérent, mais un peu appliqué. A l’image des acteurs très plastiques mais […]
Adaptation d’un fameux manga de Ryôichi Ikegami, mais aussi hommage à The Killer de John Woo, lui-même hommage au Samouraï de Jean-Pierre Melville. Les poupées russes rétrécissent, tant et si bien qu’il ne reste plus
beaucoup de matière dans ce film ambitieux et cohérent, mais un peu appliqué. A l’image des acteurs très plastiques mais bien peu charnels, le film manque de vie. Quelques scènes s’imposent parce qu’on sent qu’elles correspondent précisément à la vision qu’en avait le metteur en scène, mais d’autres sont assez grotesques, telle celle où Mark Dacascos nous apprend à assassiner efficacement tout en portant élégamment le jock-strap.
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