La nouvelle comédie arriérée écrite et interprétée par Adam Sandler.
Il y aurait presque quelque chose de sympathique dans la démarche d’Adam Sandler scénariste. Dans cette obstination à ignorer toutes les évolutions de la comédie US, qui trouve chez le réalisateur Dennis Dugan un acolyte de choix.
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Avec Copains pour toujours, les deux compères reviennent au film familial façon Big Daddy et opèrent dans un même mouvement un flash-back dans l’humour nineties.
Celui du gros rire que provoquent les flatulences d’une mama ou les sous-entendus sur l’activité sexuelle d’une sexagénaire hippie. Un humour qui refuserait de grandir, comme la bande de quadras de Copains pour toujours, qui se retrouvent le temps d’un week-end pour enterrer leur vieux coach et en profitent pour rejouer les quatre cents coups.
Entre deux blagues potaches, Sandler nous chante l’air du “c’était mieux avant”, jusqu’à une embrassade collective sous la bannière étoilée.
Tout de suite moins sympathique.
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