Flocons de neige et manteau blanc, le double effet kiss cool de la réussite plastique des meilleurs films ? Cette semaine, le webzine Blow up se penche sur les vertus cinégéniques de la poudreuse. Des premiers pas de Bambi aux pluies de cendre d’Hiroshima, mon amour, des plaines immaculées de Fargo à la “poussière d’instants” évanescents […]
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Flocons de neige et manteau blanc, le double effet kiss cool de la réussite plastique des meilleurs films ? Cette semaine, le webzine Blow up se penche sur les vertus cinégéniques de la poudreuse. Des premiers pas de Bambi aux pluies de cendre d’Hiroshima, mon amour, des plaines immaculées de Fargo à la « poussière d’instants » évanescents d’Eternal Sunshine of the Spotless Mind, du huis clos intimiste de Winter Sleep à la traque du héros d’Essential Killing, sans oublier les tribulations des Bronzés ou les apocalypses glacières du Jour d’après, la neige tombe partout, tout le temps et sous toutes les formes au cinéma. Une pastille pop éminemment rafraîchissante, inspirée par la récente sortie en salles de Snow Therapy.
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