Désigné réalisateur du mois par La Cinetek, plateforme de streaming cinéphile, le cinéaste français Christophe Honoré a dévoilé ses films incontournables. De quoi un peu mieux vivre le confinement.
« 1 film que je n’ai jamais vu, interdiction parentale […]12 films que je consulte à chaque tournage […] 20 films dont je fus amoureux […] 12 films qui m’aident à écrire […] 9 films vus une seule fois » Christophe Honoré nous livre ses plus grandes inspirations cinématographiques, celles qui ont forgé sa cinéphilie. Au total une liste de 54 films publiée sur le site de la Cinetek et élaborée avec précision par le réalisateur des Chansons d’Amour. 54 occasions également d’échapper à la pesanteur du confinement aux côtés de Rohmer, Fellini ou encore Gus Van Sant.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
>> A lire aussi : “Chambre 212”, romanesque à tous les étages
Cette liste comprend les films suivants
La Dérobade de Daniel Duval – 1979
La Plainte de l’impératrice de Pina Bausch – 1990
Journal intime de Nanni Moretti – 1993
L’Argent de Robert Bresson – 1982
Mystery Train de Jim Jarmusch – 1989
Last Days de Gus Van Sant – 2005
Boy Meets Girl de Leos Carax – 1984
Manhattan de Woody Allen – 1978
Je vous salue Marie + Le Livre de Marie de Jean-Luc Godard – 1985
Casino de Martin Scorsese – 1995
L’Evangile selon Saint Matthieu de Pier Paolo Pasolini – 1964
Jules et Jim de François Truffaut – 1961
La Nuit de Michelangelo Antonioni – 1960
Chungking Express de Wong Kar-Wai – 1994
La Loi du désir de Pedro Almodóvar – 1988
Kids Return de Takeshi Kitano – 1996
L’Amour à la mer de Guy Gilles – 1964
Un monde parfait de Clint Eastwood – 1993
Golden Eighties de Chantal Akerman – 1986
Tenue de soirée de Bertrand Blier – 1986
La Bande des quatre de Jacques Rivette – 1989
Lola de Jacques Demy – 1960
Querelle de Rainer Werner Fassbinder – 1982
American Gigolo de Paul Schrader – 1980
La Vie aquatique de Wes Anderson – 2004
Éclairage intime d’Ivan Passer – 1965
La Pudeur ou l’impudeur d’Hervé Guibert – 1992
Trois places pour le 26 de Jacques Demy – 1988
Simple Men d’Hal Hartley – 1992
L’Homme blessé de Patrice Chéreau – 1983
Antoine et Colette de François Truffaut – 1962
Trop belle pour toi de Bertrand Blier – 1989
Elle a passé tant d’heures sous les sunlights… de Philippe Garrel – 1985
Cette sacrée vérité de Leo McCarey – 1937
La Splendeur des Amberson d’Orson Welles – 1941
Secrets et mensonges de Mike Leigh – 1996
Et vogue le navire… de Federico Fellini – 1983
Comment je me suis disputé…(ma vie sexuelle) d’Arnaud Desplechin – 1994
Une étoile est née de George Cukor – 1953
Faisons un rêve… de Sacha Guitry – 1936
Madame de... de Max Ophüls – 1953
La Maman et la putain de Jean Eustache – 1972
Crash de David Cronenberg – 1995
Scènes de la vie conjugale d’Ingmar Bergman – 1973
Harry dans tous ses états de Woody Allen – 1997
Le Guépard de Luchino Visconti – 1963
L’Arbre aux sabots de Ermanno Olmi – 1977
Miller’s Crossing de Joel Coen et Ethan Coen – 1990
Big Fish de Tim Burton – 2003
Le Destin de Youssef Chahine – 1997
Val Abraham de Manoel de Oliveira – 1993
Le Fleuve de Jean Renoir – 1950
Le Camion de Marguerite Duras – 1977
Le Rayon vert d’Eric Rohmer – 1985
>> A lire aussi : Bong Joon-ho dévoile ses 30 films favoris
>> A lire aussi : Une alternative à Netflix : les 8 plateformes de streaming du cinéma d’auteur
{"type":"Banniere-Basse"}
