Certains l’aiment chaudQue dire encore de l’un des chefs-d’œuvre comiques de Billy Wilder, dont les sous-entendus narquois sur l’identité sexuelle ont plus fait pour saper le code de censure que tous les pensums amidonnés de Stanley Kramer, ou même de Preminger ? Que chez l’ancien complice de Lubitsch la rigueur et la logique du scénario […]
Certains l’aiment chaud
Que dire encore de l’un des chefs-d’œuvre comiques de Billy Wilder, dont les sous-entendus narquois sur l’identité sexuelle ont plus fait pour saper le code de censure que tous les pensums amidonnés de Stanley Kramer, ou même de Preminger ? Que chez l’ancien complice de Lubitsch la rigueur et la logique du scénario sont déjà de la mise en scène. Que c’est aussi une parodie de Scarface. Que Tony Curtis y trouve son meilleur rôle avant Danny Wilde. Que Marilyn y est adorable et grand clown. Et que pooh pooh pi dooh.
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