Brigands, chapitre VIId’Otar Iosseliani (1997), avec Amiran Amiranachvili, Dato Gogibedaachvili“Tati et Tintin en Barbarie” : ce fut une couverture incomprise de ce journal. Nous aimons plus que de raison le cinéma burlesque et délicieusement cruel de ce Géorgien décalé, poétique, politique, ironique. Iosseliani est un doux enragé mais surtout un incroyable séducteur. Si vous n’avez […]
Brigands, chapitre VII
d’Otar Iosseliani (1997), avec Amiran Amiranachvili, Dato Gogibedaachvili
« Tati et Tintin en Barbarie » : ce fut une couverture incomprise de ce journal. Nous aimons plus que de raison le cinéma burlesque et délicieusement cruel de ce Géorgien décalé, poétique, politique, ironique. Iosseliani est un doux enragé mais surtout un incroyable séducteur. Si vous n’avez pas succombé à son charme, c’est tout simplement que vous n’avez jamais rencontré un seul de ses films.
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