Dans ces 400 coups sous Staline, Kanevski suit deux gamins lumineux traversant une cour des miracles de prisonniers de guerre et de marginaux. C’est son premier long métrage et il a déjà 55 ans. D’où la rage, l’urgence que l’on sent ici à vouloir tout dire, tout hurler (en personne même à la fin du […]
Dans ces 400 coups sous Staline, Kanevski suit deux gamins lumineux traversant une cour des miracles de prisonniers de guerre et de marginaux. C’est son premier long métrage et il a déjà 55 ans. D’où la rage, l’urgence que l’on sent ici à vouloir tout dire, tout hurler (en personne même à la fin du film). Réalisme cru des décors naturels d’une banlieue misérable de Leningrad, noir et blanc presque sauvage, désordre narratif… Le film n’obéit qu’à une seule loi : les soubresauts de la mémoire.
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