Une série Z timidement sexy en hommage à Russ Meyer et sa passion poitrine.
Bitch Slap : tout est dans le titre, qui résume le double programme sexy et gore du dernier film de Rick Jacobson, ex-gloire des vidéoclubs 90’s (Bloodfist VI, Full Contact) reconvertie téléaste de seconde zone (Xena la guerrière, entre autres forfaits).
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Dans la lignée (tardive) du revival grindhouse orchestré en 2007 par la paire Tarantino-Rodriguez, il tente à son tour la série Z méta, fauchée et rétro (suremploi décoratif du split screen, scratches de pellicule et faux raccords) dans ce huis clos à ciel ouvert qui confronte trois amazones siliconées à un mafieux propriétaire d’un mystérieux trésor.
C’est Faster, Pussycat! Kill! Kill! plus sage, revu et corrigé par la technologie numérique : un film-tribute pas déplaisant mais absolument inutile.
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