Big bad loved’Arliss Howard&Chelsea walls d’Ethan HawkeQuinzaine des réalisateursJ’ai zappé ces deux films tête à claques, deux pauvres arty-shows qui vont très bien ensemble. Le premier tourné dans le Mississippi par un comédien-réalisateur chauve, inconnu au bataillon ; le second dans le légendaire Chelsea Hotel de New York, réalisé par un minet décoiffé qui fait […]
Big bad love
d’Arliss Howard&
Chelsea walls
d’Ethan HawkeQuinzaine des réalisateursJ’ai zappé ces deux films tête à claques, deux pauvres arty-shows qui vont très bien ensemble. Le premier tourné dans le Mississippi par un comédien-réalisateur chauve, inconnu au bataillon ; le second dans le légendaire Chelsea Hotel de New York, réalisé par un minet décoiffé qui fait l’acteur à Hollywood.Tous deux sont des films éclatés, clippés, qui compulsent ou non projections mentales, rêves, flash-backs, avec des personnages forcément pittoresques et attachants (l’écrivain loser du Sud porté sur la bouteille, l’écrivain loser du Nord porté sur la bouteille, et autres) donc très énervants. A ma gauche une americana revue et corrigée par la culture clip/zapping. A ma droite une bluette grunge où l’on blablatte poétiquement pour ne rien dire. Ethan Hawke n’est pas un faucon, mais un petit.
P.-S. Chelsea walls est coproduit par une boîte nommée Indigent Films. Ça ne s’invente pas.
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