Divines, premier long métrage d’Houda Benyamina en forme d’essai féministe et combatif opérant la rencontre de Scorsese et du “film de banlieue”, a secoué le dernier Festival de Cannes par son énergie et sa fraîcheur. On se souvient du déjà célèbre discours de la réalisatrice lauréate de la Caméra d’or, couronné par l’injonction à “avoir […]
<a href="http://www.dailymotion.com/video/x4r3ezw_oulaya-amamra-deborah-lukumuena-jisca-kalvanda-divines-un-film-sur-l-amitie-avant-tout-l-invite-de-7_news" target="_blank
Divines, premier long métrage d’Houda Benyamina en forme d’essai féministe et combatif opérant la rencontre de Scorsese et du « film de banlieue », a secoué le dernier Festival de Cannes par son énergie et sa fraîcheur. On se souvient du déjà célèbre discours de la réalisatrice lauréate de la Caméra d’or, couronné par l’injonction à « avoir du clito », prélude d’une longue et rocambolesque campagne de promotion.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Mais si le film, qui sort aujourd’hui en salles, est si électrique, c’est avant tout grâce à ses actrices, une bande de filles talentueuses à la spontanéité et à l’intelligence de jeu remarquables. On s’en convaincra encore une fois en (re)découvrant l’interview d’Oulaya Amamra, Déborah Lukumuena et Jisca Kalvanda par Léa Salamé dans la matinale de France Inter ce matin.
{"type":"Banniere-Basse"}