Dans le premier volet, John Wick (Keanu Reeves), alias Baba Yaga (le croque-mitaine), ancien tueur à gages repenti suite à la mort de sa femme, sortait de sa retraite après qu’un petit malfrat avait tué son chien et volé sa voiture. Ivre de rage, il remontait sa piste jusqu’à New York, et donnait un coup […]
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Dans le premier volet, John Wick (Keanu Reeves), alias Baba Yaga (le croque-mitaine), ancien tueur à gages repenti suite à la mort de sa femme, sortait de sa retraite après qu’un petit malfrat avait tué son chien et volé sa voiture. Ivre de rage, il remontait sa piste jusqu’à New York, et donnait un coup de pied dans un nid d’assassins, prélude à un grand bal de rafales de mitraillettes et d’éclaboussures de sang, dont il sortait brisé mais vainqueur.
Dans ce second volet, toujours mis en scène par Chad Stahelski mais sans l’aide de David Leitch, notre tueur à gages tatoué arrive à Rome pour aider un ancien associé à prendre le contrôle d’une vaste organisation de tueurs. Au son d’une version remixée de L’Été de Vivaldi, John Wick, qui a revêtu son plus beau costume pour l’occasion, fait chanter les armes et vrombir les moteurs entre deux répliques bien senties. Mais une question subsiste, que seule la vision du film en février 2017 éclairera : le chien va-t-il survivre cette fois-ci ?
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