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Figure de proue du cinéma mumblecore américain, Greta Gerwig signe son premier long métrage seule aux manettes : Lady Bird. La touche-à-tout du septième art avait auparavant coréalisé le film Nights and Week-ends avec Joe Swanberg en 2008, et a participé à grand nombre de projets cinématographiques en tant qu’actrice et scénariste.
Révélée à l’écran par le film Greenberg de Noah Baumbach, elle a également assuré l’écriture du plus beau film du réalisateur dans lequel elle tient le rôle principal : Frances Ha. Nul doute que la patte de Gerwig fut pour quelque chose dans ce grand succès critique.
Lady Bird semble appartenir à cette mouvance de films d’auteurs américains traitant de la difficulté du passage à l’âge adulte sur fond de musique folk et de paysages d’automne, peuplés de personnages trimbalant leurs objets rétro et leurs névroses. Ici, c’est l’épanouissement laborieux de Christine « Lady Bird » McPherson (Saoirse Ronan) que Gerwig nous dévoile, entre crise d’identité et relations tempétueuses avec sa mère, au cours d’une année passée à Sacramento.
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