Quelques rushs assommants oubliés sur la table de montage.
Certains racontent que le film aurait été baptisé en hommage à son mode de fabrication. Car qui oserait prétendre qu’August Rush(es) est passé par la case montage ? Dans ce bordel de sons et d’images, on comprend, en vrac, qu’un orphelin est censé figurer le nouveau Mozart, que la musique est partout, même dans les pots d’échappement, et que le merveilleux Jonathan Rhys-Meyers, en plus de se compromettre dans cette daube suprême, s’est acheté un nouveau sourire. Beurk.
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