La suite de Da Vinci Code. Un poil plus efficace mais toujours ridicule.
Les responsables du Da Vinci Code (Hanks, Howard, Brown) divaguent à nouveau avec leurs complots religieux millénaires et chasses au trésor cryptiques. Certes, le jeu de piste chronométré à travers les églises de Rome, façon Die Hard 3 et infiltration à la 24 heures chrono, rend le rythme plus efficace que dans le premier film, sorte de Fort Boyard mou. Cela n’élève pas pour autant ce film tiédasse, au statu quo maladroit, qui voudrait arrondir les angles avec l’Eglise (outrée par les écrits “cathosploitation” de Dan Brown) tout en plaidant faiblement pour une conciliation science et foi (enfin, tant que le Vatican est mené par un quarteron de vieux cardinaux). Et le ridicule des situations du Da Vinci Code est préservé : après les assassins en soutane et Jésus marié, voici le prêtre parachutiste et la bombe d’antimatière.
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