Alouette, je te plumeraiCroyant plumer un vieil homme richissime, un jeune couple se retrouve dindon de la farce. Sous des dehors de comédie simpliste, un film plus dense qu’il n’y paraît. Les mensonges sont parfois la manière la plus sûre d’atteindre la vérité, explique Pierre Zucca dans son quatrième film, sorti il y a tout […]
Alouette, je te plumerai
Croyant plumer un vieil homme richissime, un jeune couple se retrouve dindon de la farce. Sous des dehors de comédie simpliste, un film plus dense qu’il n’y paraît. Les mensonges sont parfois la manière la plus sûre d’atteindre la vérité, explique Pierre Zucca dans son quatrième film, sorti il y a tout juste dix ans dans une indifférence polie, et c’est tout à l’honneur d’Arte de diffuser un film aussi atypique en première partie de soirée. Etonnamment en retrait, Luchini laisse toute la place à Chabrol pour fignoler son numéro de gros chat matois. Une excellente occasion de faire connaissance avec le cinéaste Zucca dont on vient de voir le beau film sur Balthus dans la rétrospective L’Art et l’essai au Saint-Germain-des-Prés.
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