La « suite » d’Alien de Ridley Scott. Pour épicer le plat, les scénaristes ont multiplié le nombre de bestioles monstrueuses. Cette prolifération est bien l’expression de cette « forme extatique » qui a marqué le cinéma américain des années 80. Soûlant. On peut noter une utilisation habile et riche en suspens de l’image-vidéo désignant dans le rapport vidéo-cinéma […]
La « suite » d’Alien de Ridley Scott. Pour épicer le plat, les scénaristes ont multiplié le nombre de bestioles monstrueuses. Cette prolifération est bien l’expression de cette « forme extatique » qui a marqué le cinéma américain des années 80. Soûlant. On peut noter une utilisation habile et riche en suspens de l’image-vidéo désignant dans le rapport vidéo-cinéma l’hétérogénéité comme sujet caché du film.
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