L’amitié, l’humour et le cancer. Une comédie dramatique moit’moit’.
Le cancer a la cote. Après La guerre est déclarée, Restless et l’atroce Toutes nos envies la semaine dernière, 50/50 prend à nouveau le compte à rebours enclenché par la maladie comme principe narratif.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Soit un jeune homme bien sous tous rapports (Joseph Gordon-Levitt, effectivement très bien, sous tous rapports) apprenant un jour qu’une tumeur rare lui laisse une chance de rémission de 50 %.
Brisons le suspense : puisque le film est inspiré d’une histoire réelle et que son protagoniste, Will Reiser, a lui-même écrit le scénario et l’a fait produire par son pote Seth Rogen (qui joue ainsi son propre rôle), c’est que l’issue fut bel et bien positive.
Feel good movie réalisé par le sympathique Jonathan Levine (All The Boys Love Mandy Lane, Wackness), 50/50 est un film tantôt plaisant, lorsqu’il n’affiche pas d’autre prétention que faire rire (la veine cancer-lol), tantôt irritant lorsqu’il affirme, les dents toutes blanches et la raie bien tracée, sa philosophie de bazar achetée 2 dollars à Sundance (la veine cancer-sigh).
Bryce Dallas Howard est atroce en petite amie mégère (la pauvre) et Seth Rogen, chou mais visiblement pas dirigé, est en pilotage automatique, mode grognement. Moit’ moit’, donc.
{"type":"Banniere-Basse"}