Après Scream, la Nuit gore consacre un volet à la préhistoire du genre, le cinéma d’Herschell Gordon Lewis. Son légendaire 2000 maniacs, œuvre archiprimitive, rebutera sans aucun doute les adeptes de Psychose et de sa descendance prolifique. Il s’agit d’un Intervilles en plus bête et plus méchant organisé par des villageois givrés avec des touristes […]
Après Scream, la Nuit gore consacre un volet à la préhistoire du genre, le cinéma d’Herschell Gordon Lewis. Son légendaire 2000 maniacs, œuvre archiprimitive, rebutera sans aucun doute les adeptes de Psychose et de sa descendance prolifique. Il s’agit d’un Intervilles en plus bête et plus méchant organisé par des villageois givrés avec des touristes innocents. Au programme : gymkhanas dans des tonneaux tapissés de clous, écartèlement, méchouis humains, etc. Trucages indigents, non-acteurs constamment hilares ; ça ressemble à une performance SM conçue par un peintre naïf.
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