On a lu pour vous cet article sur le tabou qui règne toujours autour du viol, et on vous le recommande.
“‘Le viol est l’une des infractions les plus graves, et en même temps l’une des moins rapportées à la police ou à la gendarmerie’, relève Christophe Soullez, directeur de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Seule une victime interrogée sur cinq s’est rendue à la police ou à la gendarmerie, 13 % ont porté plainte, 4 % ont déposé une main courante, et 2 % sont reparties sans effectuer aucune des deux démarches, soit 1 personne qui s’est déplacée sur 10.
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Hésitation, découragement, refus de prendre la plainte de la part des forces de l’ordre? L’enquête ne donne pas de réponse pour l’instant à cette question sensible (une deuxième phase d’exploitation des réponses détaillées est prévue). Il reste que 4 victimes sur 5 n’ont pas tenté la démarche.”
L’Observatoire national de la délinquance publie aujourd’hui une enquête reflétant le tabou qui règne autour du viol, pourtant une agression fréquente en France, et Le Monde analyse ces résultats dérangeants.
À lire le plus vite possible sur le site du Monde.
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