Cheek passe en revue (de Web) une actu internationale.
A 18 ans, une Américaine s’apprête à épouser son père biologique, comme elle l’explique dans une interview accordée au New York Magazine.
Cette relation incestueuse débute lorsque la jeune fille n’avait que 16 ans. N’ayant plus revu son père depuis ses cinq ans, elle prend contact avec lui via Facebook. Ils se rendent compte qu’ils ont beaucoup de passions communes et décident de se voir. C’est à ce moment-là que naît une autre passion partagée, amoureuse cette fois-ci.
Au début, l’adolescente ne comprend pas l’attirance qu’elle ressent envers son père: “Je me disais: ‘il est tellement beau!’ Puis: ‘mais c’est quoi ton problème, qu’est-ce qui cloche chez toi?’”. Leur relation va prendre un tournant assez inopiné. Alors que son père l’invite à passer quelques jours chez lui et sa femme, il la rejoint une nuit dans sa chambre. Ils se confient leurs sentiments mutuels et couchent ensemble. La jeune fille perd sa virginité à cet instant.
Et elle n’a aucun problème à aborder ce sujet tabou. “C’était vraiment sensuel. Nous avons tous les deux atteint l’orgasme. Nous sommes tellement semblables que c’est facile de se satisfaire sexuellement”, a-t-elle confié au New York Magazine, comme s’il s’agissait d’une évidence. Actuellement, le nouveau couple s’apprête à déménager dans le New Jersey, où l’inceste n’est pas (encore) pénalisé, pour se marier.
Et telle une vraie famille, ils comptent bien avoir des enfants ensemble. Apparemment, la jeune femme aurait fait des recherches et exclut la possibilité de risques génétiques liés à cette union incestueuse. Le couple aurait, par dessus le marché, la bénédiction des grands-parents côté paternel (les parents du père, donc). Quant à la mère de la jeune Américaine, elle n’est pas au courant de la relation. Et il vaudrait peut-être mieux que cela continue.
C.T.