On a lu ça pour vous.
“Samedi 14 novembre. La gueule de bois. Pas vraiment la même.
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Je ne vais pas écrire sur le courage du peuple de Paris. Parce que le peuple de Paris que je connais, c’est celui qui sort le vendredi soir pour se démonter la tête. Évidemment, hier, à peu près tout mon entourage était dehors. Qui dans un bar, qui à un concert, un autre au Stade de France.
C’est normal, c’était vendredi soir. Le soir où on boit, trop. On se couche tard, trop. On couche, tout court et parfois avec n’importe qui. On écoute de la musique trop fort. On traîne dans Paris à la recherche d’un taxi. On crie dans la rue. On se fait engueuler parce qu’on est dehors avec un verre d’alcool. Parce qu’on fume en riant trop fort et que ça dérange les ‘riverains’. C’est notre soir. Celui où on décompresse. Celui où on s’autorise un peu de n’importe quoi. […]
À Paris, hier soir, la vie tenait aux places dispos en terrasse et à vos goûts musicaux. Si vous préfériez le métal ou le rock.”
Sur le site de Slate, la journaliste et auteure Titiou Lecoq revient à chaud sur ce vendredi soir qui bascule, “sur le concept même de Vendredi soir” qui ne sera plus jamais comme avant.
À lire sur le site de Slate.
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