Cheek passe en revue (de Web) une actu internationale.
À l’affiche du film Third Person réalisé par Paul Haggis, la belle Olivia Wilde n’a certainement pas regretté de lire la critique dans le dernier GQ américain. Le journaliste/critique Tom Carson s’est livré à une analyse du rôle de l’actrice d’une perspicacité et d’une finesse rare: “Elle est censée être écrivain, mais cela cessera d’être crédible quand vous verrez Wilde galoper nue dans les couloirs d’un hôtel, après que Neeson l’aura gentiment mise à la porte de sa chambre. Avec un popotin pareil, qui aurait besoin de savoir lire et écrire? Qui en aurait envie?”
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Non, vous ne rêvez pas, c’est bien l’ahurissant discours sexiste d’un “grand penseur”. Et comme le précise si bien cet article de Slate, les exemples pouvant allier le statut écrivain/bombasse sont multiples. Heureusement, Olivia Wilde n’a pas manqué l’occasion de descendre le journaliste sur Twitter. “HA, Kiss my smart ass.” Subtil jeu de mot entre les deux expressions “Kiss my ass” (Ndlr: “Va te faire voir”) et “Smart ass” (Ndlr: “Gros malin”).
M.R.
HA. Kiss my smart ass, GQ. “@Jezebel: Olivia Wilde’s ass too nice for her to play a writer, says GQ review http://t.co/WJx8BbjWgJ”
— olivia wilde (@oliviawilde) 25 Juin 2014
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