“Je préfère être une rebelle qu’une esclave”: c’est en arborant cette phrase sur leur t-shirt que les actrices du très attendu Les Suffragettes (en salles le 18 novembre en France) font la couverture du Time Out londonien. Meryl Streep et Carey Mulligan se sont attiré les foudres de Twitter avec cette punchline qui n’est pas passée inaperçue.
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Car, si elle est adaptée au film retraçant l’histoire des militantes féministes britanniques du début du XXème siècle, elle ne sonne pas vraiment juste à l’heure où les États-Unis interrogent leur histoire esclavagiste et où l’afro-féminisme fait entendre sa voix. Les accusations de “white feminism” -excluant les femmes de couleur du combat- n’ont d’ailleurs pas tardé à surgir, perpétuant le bad buzz entamé par Meryl Streep, qui n’avait pas hésité à se revendiquer “humaniste” plutôt que féministe.
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