Actuellement en tournée française et européenne, Hanni El Khatib a sorti son deuxième album, Head In The Dirt, en avril 2013. Amateur de chiens et de cactus hallucinogènes, le rocker tatoué a répondu à notre questionnaire “On Tour”.
L’endroit le plus éloigné de chez toi où tu aies joué?
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Probablement l’Australie.
Et le plus près?
Le El Rey à Los Angeles. Je peux y aller à pied de chez moi.
L’album idéal à écouter sur la route?
Troubadour de JJ Cale est toujours un bon choix.
Un livre à emmener avec soi?
Ø (ndlr: Visiblement, Hanni sèche).
Un film ou une série à regarder dans le van?
Les documentaires musicaux semblent bien adaptés aux longs trajets en van. Mais des épisodes de Curb Your Enthusiasm, c’est pas mal non plus pour maintenir une bonne ambiance dans le camion.
Si tu pouvais tout te permettre, tu demanderais quoi dans ta loge?
Des chiots et du peyote.
Qu’est-ce que tu demandes en vrai?
Des chiots et du peyote.
“Ce qui arrive sur la route reste sur la route”: qu’est-ce qui est resté sur la route?
Bien tenté.
En avion, qu’est-ce que tu gardes tout le temps avec toi en cabine?
Des écouteurs et un ordinateur.
Ton anecdote de tournée la plus incroyable?
Il y a quelques années, le groupe et moi avons été intoxiqués au monoxyde de carbone dans le van. On s’est tous évanouis, puis on s’est réveillés en vomissant à gros jets. Juste après, on devait jouer en direct à la BBC puis enchaîner immédiatement avec un concert. On prenait tous des pauses pour vomir entre chaque show. C’était pire que tout. On a cru qu’on allait tous y passer.
La première chose que tu fais en rentrant chez toi?
J’achète des tacos et je promène mon chien.
Propos recueillis par Faustine Kopiejwski
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