On a lu ça pour vous et on vous le conseille.
“On m’a demandé d’écrire sur la mode et le féminisme. Grosse responsabilité. Je pense qu’il faut commencer par le défilé Chanel printemps/été 2016. La métaphore des manifestations dans les rues de Paris par Karl Lagerfeld au Grand Palais, plus précisément. Quoi qu’il ait été dit au moment du défilé, il y a une chose que nous ne pouvons nier: M. Lagerfeld ne pouvait pas pointer de ses doigts gantés dans une direction plus politique et culturelle. Pour comprendre le pourquoi du comment, il nous faut revenir en arrière et faire entendre le progrès en l’inscrivant dans une perspective plus large et historique. C’est ce que je me propose de faire.”
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Qui d’autre que Sarah Mower, -journaliste et contributrice régulière de Vogue US, Japon et du Harper’s Bazaar, ambassadrice des talents émergents du British Fashion Council et membre du NEWGEN committee– pour parler de l’émergence des femmes dans le milieu de la mode? A l’heure où le féminisme est si ancré dans l’air du temps, on en oublierait presque qu’au début des années 80, on comptait seulement cinq femmes à la tête de grandes maisons de couture, comme l’explique Sarah Mower. La conclusion de son papier publié sur le site d’i-D est sans appel: une véritable révolution est en marche, laquelle “n’a rien à voir avec le fait de manifester dans les rues, pancartes et slogans féministes à la main”.
À lire le plus vite possible sur i-D.
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