On a lu ça pour vous et on vous le conseille.
“Il aura fallu dix ans à Anne pour savoir ce qui la faisait tant souffrir pendant les règles, au cours des rapports sexuels avec son mari, voire au beau milieu de son cycle. ‘J’en ai souvent parlé à ma gynéco de l’époque. Elle me disait que c’était normal d’avoir mal pendant les règles, et que pour le reste, cela devait relever d’un souci digestif’, explique cette infirmière de 35 ans. La coupable sera finalement démasquée presque par hasard, après une visite chez le médecin traitant de la jeune femme, une échographie et un scanner. Bilan? Endométriose, maladie qui se caractérise par le développement de muqueuse utérine ailleurs que dans l’utérus. Ces cellules baladeuses vont alors se greffer principalement contre le rectum, la vessie, sur les ovaires ou les trompes. […]
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Environ une Française sur dix souffre de cette pathologie, décrite pour la première fois en 1860 par l’Autrichien Karel Rokitansky. Pourtant, un siècle et demi plus tard, elle reste très méconnue.”
Dans cette enquête sur l’endométriose publiée sur le site de Libération, la journaliste Virginie Ballet revient sur la difficulté de poser un diagnostic sur cette maladie encore méconnue qui touche une Française sur 10. Le 8 mars dernier, une campagne nationale intitulée Info-endométriose a été lancée pour briser le tabou des “endogirls”. En février, Lena Dunham faisait un pas dans ce sens en abordant le sujet -elle souffre elle-même de cette pathologie depuis plusieurs années- dans un de ces posts Instagram.
À lire le plus vite possible sur le site de Libération.
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