Quand Sophia Aram dresse le portrait de Donald Trump, c’est savoureux et ça donne ça.
“Une bouche en forme d’anus, une touffe d’herbes folles lyophilisées en guise de cheveux recouvrant sommairement de tous petits yeux en trous de pine qu’une chipolata trop cuite faisant office de nez peine à assombrir tant ce visage variolé et recouvert d’autobronzant ressemble à une citrouille flétrie que l’on aurait recyclée d’une année sur l’autre, d’un Halloween à l’autre.”
Ce matin, sur France Inter, Sophia Aram a débuté sa chronique par cette description -très ressemblante au passage- au vitriol de Donald Trump, elle qui n’a “pas l’habitude de [s]’attaquer au physique”. Mais c’est pour une bonne raison car “avant Trump, mis à part Jean-Marie Le Pen, personne n’avait jamais ressemblé autant aux idées qu’il porte”. La preuve avec l’intégralité de la chronique ci-dessous:
Julia Tissier