On a lu pour vous cet article du Parisien qui relaie le témoignage de Sandrine, infirmière de 36 ans, victime d’un choc toxique suite à l’utilisation d’une coupe menstruelle et on vous le conseille fortement.
“Comme tous les mardis, et jeudis, Sandrine Graneau passera sa journée à faire de la rééducation. Garder une position statique, marcher dans le sable ou sur des graviers, il y a tant de choses à réapprendre depuis que des tubes en métal ont pris, dans ses baskets, la place de ses pieds. Les deux ont été amputés, le 11 juin, trois semaines avant l’ablation d’une partie des doigts de ses mains.
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Si Sandrine la pimpante doit faire le deuil de ses membres et avec eux de sa vie d’avant, c’est que cette infirmière de 36 ans a été victime d’un choc toxique menstruel. Récemment, ce syndrome a fait couler beaucoup d’encre avec le décès en Belgique de Maëlle, 17 ans, dont l’infection a été causée par un tampon. Mais elle peut aussi être liée à l’utilisation d’une cup menstruelle -une coupe en silicone, avec une forme d’entonnoir pour recueillir le sang.”
Dans ce papier publié sur le site du Parisien, Sandrine témoigne du choc toxique qu’elle a subi en avril dernier après avoir utilisé une coupe menstruelle “plusieurs heures” durant ses règles.
À lire le plus rapidement possible sur le site du Parisien.
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