Si vous ne deviez voir qu’une seule vidéo aujourd’hui, ce serait celle-ci.
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“Patrick, ça va déjà faire deux ans qu’on travaille ensemble et pas une seule main aux fesses. Patrick, je ne me sens pas considérée. C’est vrai non, être journaliste et être obligée de se faire claquer l’élastique de sa culotte soi-même, c’est dégradant, non? Alors que ça pourrait être fait par un spécialiste comme Michel Sapin par exemple!”
Mardi matin, Charline Vanhoenacker est revenue sur l’affaire Denis Baupin et a dénoncé la loi du silence qui règne en politique mais également dans les rédactions. Elle raconte à ce sujet une anecdote personnelle: “Lorsque j’étais journaliste au Soir de Bruxelles, j’étais en charge d’un portrait de DSK au moment de l’affaire Piroska Nagy […] Bien informée sur les travers du personnage, j’évoque une lourde propension au harcèlement dans mon article mais le lendemain, je découvre qu’un rédacteur a retouché mon papier pour qualifier DSK de ‘coureur de jupons invétéré’.” Et Charline Vanhoenacker de lâcher: “C’est magique la vie publique, t’as beau être Jean-Claude Dusse, dès que tu as un mandat politique, tu te prends pour Belmondo.”
J.T.
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