On a lu pour vous cet article de Slate sur Bridget Jones et on vous le conseille.
“Le film s’ouvre sur une Bridget avec 20 kilos de moins et qui déclare le jour de ses 43 ans, extrêmement satisfaite d’elle-même ‘I was finally down to my perfect weight’, ‘J’étais enfin arrivé à mon poids parfait’. Premier malaise. C’était donc ça son happy ending rêvé? Etre la plus maigre possible?
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Souvenons-nous: Mark l’aimait pourtant ‘telle qu’elle était’ et comme le faisaient remarquer ses trois amis dans le premier film ‘pas plus mince, pas plus intelligente, pas avec des seins un tout petit peu plus petits, pas avec un plus petit nez’. Et qu’est-il devenu d’ailleurs Mark? Contrairement au roman, le film part du principe qu’ils ne sont en fait pas restés ensemble malgré les deux happy endings consécutifs des deux premiers volets […].
Réponse du troisième volet: oui mais en fait non. Mark était grand, mince, beau, distingué et réussissait brillamment sa carrière d’avocat. Quand Bridget n’était pas très grande, un peu ronde, maladroite et pas hyper brillante professionnellement: forcément, ils n’étaient pas compatibles. Elle le gênait, lui était trop souvent absent, bref ils se sont séparés. Et devinez quoi? Il s’est marié avec une brune, mince et élégante. Bridget est restée célibataire mais a maintenant beaucoup plus confiance en elle (rapport aux vingt kilos de moins) a arrêté de fumer il y a 1891 jours, ne compte plus ses unités d’alcool car elle n’en a plus besoin, et a réussi sa carrière: elle est désormais productrice d’un show d’infotainment.”
Alors qu’est sorti mercredi le troisième volet de la saga Bridget Jones, la journaliste Pauline Thomson revient sur l’évolution de cette héroïne de comédie romantique, interprétée par Renée Zellweger, et regrette qu’elle ne soit plus “l’ingénue géniale” des premiers films.
À lire le plus vite possible sur le site de Slate.
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