On a lu ça pour vous et on vous le conseille.
“Ambertheactivist est le compte d’Amber Amour (pseudonyme ou alors coïncidence stupéfiante et paradoxale), 27 ans, originaire de l’Ohio, militante féministe antiviolences sexuelles (elle explique son engagement par un premier viol à 12 ans, puis adulte, par un colocataire). Or, il y a quelques jours, Marie Claire UK révélait que le 21 novembre, Amber Amour a documenté sur Instagram et quasi en direct, le viol qu’elle venait de subir, dans un hôtel du Cap où elle se trouvait dans le cadre d’une tournée internationale pour sa cause -l’Afrique du Sud est notoirement gangrenée par les abus sexuels. L’agression, dit-elle, a eu lieu dans la douche de sa chambre, où elle s’était retrouvée avec une vague connaissance, un homme qui avait déjà essayé de l’embrasser et qui s’est invité dans cette chambre. La première photo postée, un selfie, la montre en pleurs, encore dans la douche. Elle détaille la scène, explique que l’homme l’a contrainte à un rapport sexuel alors qu’elle s’y refusait, pleurait. Suit une photo à l’hôpital, avec le ‘kit du viol’ en évidence.”
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Sur le site de Libération, la journaliste Sabrina Champenois revient sur la démarche singulière de la jeune militante féministe Amber Amour, qui s’est confiée, photos à l’appui, quasi-instantanément sur le viol dont elle venait d’être victime, et s’interroge: action courageuse ou “narcissisme poussé jusqu’à l’autoflagellation”?
À lire le plus vite possible sur le site de Libération.
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