Le docu-réalité L’Incubateur June débute ce lundi 6 janvier et met en lumière un sujet peu traité à la télé, l’entreprenariat féminin. 3 bonnes raisons de suivre ce programme.
1- Un concept original
Quinze jeunes femmes qui souhaitent créer leur entreprise essayent d’intégrer l’incubateur June qui leur permettra de concrétiser leur projet. Seulement cinq apprenties créatrices d’entreprise vont y parvenir et seront aidées par des mentors (Gabriela Cortese, Céline Lazorthes, Hadj Kelil…). Ensemble, ils vont parler business plan, investissement ou marketing et se confronter aux galères que rencontre tout jeune créateur d’entreprise. Ce docu-réalité a été imaginé par Stéphanie Brillant, une ancienne journaliste qui a monté sa propre société de production et connaît donc parfaitement son sujet.
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2- Un casting réussi
Pour toute émission, c’est l’ingrédient à ne pas négliger. Entre des participantes fonceuses, en quête de sens ou investies dans un projet social, et des mentors au discours très cash, on s’attache facilement à ces personnages. Les jeunes entrepreneuses rencontrent également des personnalités comme Mercedes Erra, fondatrice de l’agence de pub BETC, qui confie autour d’un déjeuner qu’elle aimerait voir plus de femmes chefs d’entreprise. En France, 30% des entrepreneurs sont des femmes et il n’y a que 24% de femmes dans les conseils d’administration des entreprises du CAC 40.
3- Une source d’inspiration
Le parcours du combattant des participantes a duré quatre mois et il est raconté en douze épisodes très rythmés. Voir ces jeunes femmes de la génération Y se lancer dans l’entreprenariat peut donner des idées. Les hauts et les bas de cette aventure sont bien retranscrits à l’image et on se demande jusqu’au bout si les néo-entrepreneuses vont réussir à mener à bien leur projet (1 entrepreneur sur 2 avoue avoir rencontré des difficultés dans la création de son affaire). Certaines vont douter, d’autres faire évoluer leur projet en cours de route ou carrément abandonner.
Stéphanie Semedo
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