Mise à disposition en intégralité en juillet sur la chaîne VOD Netflix, Orange Is The New Black a secoué les spectateurs outre-atlantique cet été. Si vous avez loupé cette série déjà culte, voici 10 raisons de vous rattraper.
1- Parce que pour une fois, la bourgeoise-blonde-cultivée-new yorkaise (donc parfaite) finit (commence) en prison: Orange Is The New Black suit le quotidien de Piper Chapman (Taylor Schilling), envoyée en prison pour avoir transporté quinze ans plus tôt une valise d’argent sale.
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2- Parce qu’on vous révèlera la recette de la “jail-made back cream” à base de piments: une crème pour le dos faite-maison/faite-prison. En temps de crise, pourquoi ne pas en profiter?
3- Parce que vous apprendrez à cultiver votre mauvaise foi en piquant des répliques à Suzanne “Crazy Eyes” Warren (Uzo Aduba): votre copine est bien foutue et vous l’attribuez à son beau cul de black? “Non non ce n’est pas raciste, c’est juste tribal.”
4- Parce que, toujours en piquant les répliques de la série (cf photo ci-dessous), vous apprendrez aussi à faire face aux pires intégristes catholiques (on ne sait jamais, La Manif pour tous ramènera peut être sa fraise cette année):
© Lionsgate
5- Parce que pour une fois, les actrices sont superbes sans maquillage.
6- Parce que le morceau du générique, You’ve Got Time, est écrit et interprété par Regina Spektor.
7- Parce que dans le premier épisode, Larry (Jason Biggs) regarde un épisode de Weeds, série créée comme Orange Is The New Black par Jenji Kohan. Et que l’on retrouve trois acteurs de cette série: Natasha Lyonne, Pablo Schreiber and Michael Harney.
8- Parce qu’en fait, le casting entier est parfait, ça se voit sur cette photo:
9- Parce que quand on a des problèmes, Orange Is The New Black permet de relativiser.
http://whatshouldwecallstudentaffairs.tumblr.com
10- Parce qu’on n’a pas besoin de mourir d’impatience chaque semaine pour connaître la suite (puisque tous les épisodes de la saison 1 ont été diffusés sur Netflix, donc trouvables facilement sur le web). Par contre, on meurt d’impatience jusqu’à l’été prochain…
Jules Marco
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