Fia Yaqub, photographe anglaise, populaire sur les réseaux sociaux a créé un fanzine Peaches qui cartonne. Son idée remonte à son dernier voyage aux Etats-Unis. Le concept ? Photographier l’intimité féminine comme le raconte à I-D. by Fia Yaqub pic.twitter.com/xS597YIhvE — ANONYMOUS (@COMMUN1CATOR) September 18, 2015 L’appel des USA Passionnée de photographie depuis toujours, Fia Yakub […]
Fia Yaqub, photographe anglaise, populaire sur les réseaux sociaux a créé un fanzine Peaches qui cartonne. Son idée remonte à son dernier voyage aux Etats-Unis. Le concept ? Photographier l’intimité féminine comme le raconte à I-D.
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L’appel des USA
Passionnée de photographie depuis toujours, Fia Yakub rêvait de partir à la conquête des Etats-Unis pour réaliser une série personnelle axée sur l’intimité des femmes. Pourquoi les Etats-Unis ? Pour la liberté et l’excentricité des femmes de l’autre côté de l’Atlantique. Elle sentait sa créativité limitée sur le territoire anglais. Instantanément, le nom « Peaches » s’est imposé à elle pour intituler sa série. Il s’agit bien entendu d’une référence au fruit et aux courbes des femmes.
Propulsée par Instagram
Déterminée, la jeune photographe avait au préalable déjà réussi à obtenir un stage avec le célèbre photographe Richard Kern en deuxième année de son école de photographie. C’est certainement son caractère obstiné et la sincérité de ses images qui l’ont fait exploser sur Tumblr. Parmi ses followers, elle compte le légendaire photographe Nick Knight (rien que ça!). Contactée directement par ce dernier, elle est même allée jusqu’à gérer pendant quelque le Tumblr SHOWstudio.
https://twitter.com/avalornythorink/status/617029283496763392
Prospection sur Tinder
Ses mots d’ordre photographiques : spontanéité, sensualité et liberté. Il lui ai alors apparu comme une évidence de travailler en argentique. Afin de sélectionner ses modèles, Fia Yaqub a fait de la prospection sur Tinder. Dans une interview à I-D, elle raconte :
« J’étais à San Francisco et j’étais sur Tinder parce que je voulais voir la différence entre les Américaines et les Anglaises. J’ai matché avec elle et on s’est mises à parler, normalement. Puis j’ai parcouru son Instagram et j’ai vu qu’elle prenait des photos nues. Du coup je lui ai dit que je photographiais des filles nues aussi et elle m’a dit que si je passais à New je pourrais la prendre ».
Son travail se révèle réaliste et sensuel. En utilisant directement le nom de ses modèles, en les photographiant dans leur intimité, elle a réussi à créer un climat unique avec comme toile de fond, les réseaux sociaux. Il n’y a pas de doute : cette jeune artiste n’a pas fini de faire parler d’elle.
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