Arts & Scènes
Voici le carnet de voyage d’Eric Lamoureux qui est parti dans 7 pays d’Afrique, depuis le 22 septembre jusqu’au 10 octobre avec deux pièces du répertoire de sa compagnie, Fattoumi-Lamoureux (il dirige avec Héla Fattoumi le centre chorégraphique national de Caen). Cinquième étape : la Namibie.
Voici le carnet de voyage d’Eric Lamoureux qui est parti dans 7 pays d’Afrique, depuis le 22 septembre jusqu’au 10 octobre avec deux pièces du répertoire de sa compagnie, Fattoumi-Lamoureux (il dirige avec Héla Fattoumi le centre chorégraphique national de Caen). Quatrième étape : Tananarive, Madagascar.
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Sculptures lumineuses, reality show et néons politiques à la Nuit Blanche 2010 de Paris. Photos Guillaume Binet/M.Y.O.P.
Voici le carnet de voyage des premières étapes d’Eric Lamoureux qui est parti dans 7 pays d’Afrique, depuis le 22 septembre jusqu’au 10 octobre avec deux pièces du répertoire de sa compagnie, Fattoumi-Lamoureux (il dirige avec Héla Fattoumi le centre chorégraphique national de Caen). Première étape : le Malawi, pays le plus pauvre du monde.
Voici le carnet de voyage des premières étapes d’Eric Lamoureux qui est parti dans 7 pays d’Afrique, depuis le 22 septembre jusqu’au 10 octobre avec deux pièces du répertoire de sa compagnie, Fattoumi-Lamoureux (il dirige avec Héla Fattoumi le centre chorégraphique national de Caen). Première étape : l’Angola, le pays du pétrole et surtout de Total. Deuxième étape : le Soudan où leur spectacle est interdit par le pouvoir à la dernière minute
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Voici le carnet de voyage des premières étapes d’Eric Lamoureux qui est parti dans 7 pays d’Afrique, depuis le 22 septembre jusqu’au 10 octobre avec deux pièces du répertoire de sa compagnie, Fattoumi-Lamoureux (il dirige avec Héla Fattoumi le centre chorégraphique national de Caen). Première étape : l’Angola, le pays du pétrole et surtout de Total.
L’expo Murakami au château de Versailles a débuté la semaine dernière dans un climat délétère cultivé par des associations d’extrême droite. Une polémique qui ne doit pas empêcher un regard critique sur l’exposition.
Hier, deux artistes de la République démocratique du Congo sont arrivés en France avec une ou deux semaines de retard, suite à des refus de visa. De plus en plus d’artistes venus d’Afrique sont confrontés au parcours du combattant que constitue désormais la demande de visa.
Comment un artiste fait-il son entrée officielle à Beaubourg, temple de la reconnaissance artistique ? Réponse avec Saâdane Afif, prix Duchamp 2009.
