Arts & Scènes
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Chaque semaine, le meilleur des expos et rencontres art contemporain, à Paris et en province.
Chaque semaine, le meilleur des expos et rencontres art contemporain, à Paris et en province.Tourné vers le présent, Hubert Colas fait entendre à deux voix les questions d’Annie Zadek, jamais posées à sa famille exilée de Pologne, enfin écrites dans « Nécessaire et urgent ».
A mi-chemin entre l’école d’art et le circuit institutionnel, le Salon de Montrouge propose chaque printemps sa sélection des nouveaux talents de l’art. A retrouver chaque semaine pendant cette 61e édition, un gros plan sur un jeune artiste, sa vision de l’art, de son propre travail et… un selfie.
A mi-chemin entre l’école d’art et le circuit institutionnel, le Salon de Montrouge propose chaque printemps sa sélection des nouveaux talents de l’art. A retrouver chaque semaine pendant cette 61e édition, un gros plan sur un jeune artiste, sa vision de l’art, de son propre travail et… un selfie.{"type":"Banniere-Basse"}
Tirés d’images contemporaines, people, porno ou guerrières, les tableaux presque classiques de Johannes Kahrs conjuguent morbidité et érotisme, pour un résultat à la fois étrange et familier.
Entre novembre 1968 et août 1969, un magazine nommé “Provoke ” a révolutionné la photographie au Japon. Devenu culte, le magazine est le centre d’une histoire reconstituée par l’exposition “Provoke : Entre protestation et performance ”.
Rubrique hebdomadaire des spectacles à ne pas manquer du 17 au 24 mai
Jusqu’au 31 juillet la Gare Saint Lazare accueille 10 œuvres iconiques des musées de la Ville de Paris et leurs remakes par des Instagrameurs(-euses). Diaporama.
Avec La Mouette, Thomas Ostermeier réalise sa première incursion en français dans l’univers de Tchekhov : une comédie doublée d’une fresque politique ancrée dans notre époque.
Séverine Chavrier s’empare de Déjeuner chez Wittgenstein de Thomas Bernhard et aborde les personnages par leur déséquilibre : un théâtre quasi documentaire, où les fous sont rois.
A Cannes, dans le nouveau film de Jim Jarmusch, mais aussi au Théâtre de la Tempête à Paris, l’actrice franco-iranienne Golshifteh Farahani incarne sublimement l’un des personnages les plus troublants de l’histoire de la littérature, Ana Karénine. Elle semble bien seule.