Arts & Scènes
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A Marseille, Korakrit Arunanondchai dévoile l’épilogue de sa série vidéo Painting with History dans une installation sédimentaire qui piste les traces mémorielles.
A Rennes, le Couvent des Jacobins accueille des œuvres issues de la Collection Pinault. Debout ! ou la vision d’un monde livré au mal et au chaos.
Les affaires de harcèlement sexuel et racial longtemps étouffées auront finalement eu raison de lui. Jean-Marc Bustamante, l'actuel directeur des Beaux-arts, ne sera pas reconduit à la rentrée.
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Les installations in situ Radial Grammar et Sole Summary de Batia Suter s'exposent en complémentarité au BAL et au Centre culturel suisse de Paris. Occasion passionnante de nous questionner, à l'heure des proliférations 2.0, sur notre rapport aux objets et à l'image.
Réinvestir les lieux abandonnés de la ville pour y accueillir des expositions d'art contemporain et leur rendre ainsi conscience de leur identité collective. C'est le pari tenté et réussi par la fondation Kamel Lazaar et du festival Jaou, dont la cinquième édition s'est tenue du 27 juin au 1er juillet.
Auteur de l’étiquette 2018 pour l’édition limitée du cognac Hennessy, l’artiste lisboète expose également dans la ville de Cognac. A Paris, il présente Décombres à la galerie Magda Danysz (XIe) jusqu’au 28 juillet, et fait l’objet d’une rétrospective, Fragments urbains, au Centquatre (XIXe) jusqu’au 29 juillet.
Rubrique hebdomadaire du 4 au 11 juillet
Avec l’exposition "Los Angeles, les années cool", la Villa Arson à Nice retrace les premières années de création d'une grande dame de l’avant-garde : Judy Chicago. Une oeuvre longtemps boudée mais aujourd’hui en voie de réhabilitation.
Le jeune metteur en scène Julien Gosselin adapte trois romans de Don DeLillo : Joueurs, Mao II, Les Noms. Au cœur de ce spectacle-fleuve présenté au Festival d’Avignon, un sujet fort, le terrorisme, et l’occasion de rendre plus poreux encore les liens entre littérature contemporaine, théâtre et cinéma.
De "Guerre et térébenthine" de Jan Lauwers à "Kirina" de Serge Aimé Coulibaly, le festival de Marseille invite deux créateurs qui ont l'art d'hybrider la musique, la danse et le théâtre. Un enchantement qui a conquis le public.