Malgré la surveillance mise en place dans les jardins du château de Versailles, le “vagin de la reine” de l’artiste britannique a été tagguée dans la nuit du 10 au 11 septembre avec la mention “Respect art as u trust God” (Respecte l’art comme tu crois en Dieu). Le «Dirty Corner» d’Anish Kapoor vandalisé une troisième […]
Malgré la surveillance mise en place dans les jardins du château de Versailles, le « vagin de la reine » de l’artiste britannique a été tagguée dans la nuit du 10 au 11 septembre avec la mention « Respect art as u trust God » (Respecte l’art comme tu crois en Dieu).
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Le «Dirty Corner» d’Anish Kapoor vandalisé une troisième fois http://t.co/9yoZsElLXO pic.twitter.com/Ylx9lEE3FH
— Libération (@libe) September 10, 2015
Un message pour le moins obscur mais qui fait probablement écho aux deux autres actes de vandalisme qu’a subis l’oeuvre d’Anish Kapoor, dont le deuxième s’est produit il y a quelques jours seulement, dans la nuit du 5 au 6 septembre. Alors invité à la 13e Biennale de Lyon, l’artiste avait décidé, en accord avec la directrice du domaine de Versailles et la ministre de la Culture, de conserver les inscriptions antisémites sur son « Dirty Corner », déclarant que « ces mots infamants font désormais partie » de son oeuvre. Retourné à la Biennale de Lyon pour une de ses expositions au couvent de La Tourette (Rhône), il a affirmé le 10 septembre : « Ma réponse est dans cette exposition ». Que décidera-t-il cette fois-ci ?
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