ARCHIVES DE Avril 2010
Articles du 18 Avril 2010
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Vous l’avez aimé sur YouTube ? Vous l’adorerez dans votre lecteur MP3 : Blur offre en téléchargement son nouveau morceau, Fool’s Day.
Sous la forme d’un journal, Roberto Bolaño raconte l’histoire d’un jeune Allemand qui, lors de vacances en Espagne, passe ses journées sur des jeux vidéo de guerre. Dans une de ses premières oeuvres, l’auteur chilien conduisait déjà une intense réflexion sur le mal. Superbement inquiétant.
La libéralisation de la parole politique s’accompagne d’une réduction de la liberté d’expression dès qu’elle touche à la sexualité, constate Marcela Iacub dans une étude de la société américaine.
Expressionniste, gothique, et admirable de maîtrise : le jeune metteur en scène allemand David Bösch donne toute son ampleur au Woyzeck de Georg Büchner.
Entre textes autobio et interviews d’écrivains, l’icône de l’underground new-yorkais 70’s Lydia Lunch offre une plongée ahurissante dans l’Amérique profonde.
Auscultant la “politique de l’image”, cette jeune revue met au jour les mécanismes de nos représentations. Une démarche salutaire.
Plagier n’est pas (toujours) gagner. Entre l’ersatz de God of War et l’original, le combat tourne court.
Sur la jeunesse japonaise des années 60-70, un véritable poème visuel composé par le dessin épuré de Seiichi Hayashi.