ARCHIVES DE Mai 2008
Articles du 21 Mai 2008
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Deux morceaux et un clip : découvrez pourquoi la longue attente du retour de The Notwist, l’un des groupes les plus passionnants d’Europe avec Radiohead, a valu le coup.
Le phénoménal festival espagnol, qui aura lieu les 17, 18, 19 et 20 juillet prochains, divulgue une partie de sa vertigineuse programmation.
L’ex-Hole dément les rumeurs : elle n’a pas repris ses enregistrements à zéo. Ce qui n’empêche pas, apparemment, quelques difficultés.
C’est moche : le concurrent Irlandais pour l’Eurovision, Dustin la Dinde, a été éliminé lors des demi-finales de la compétition.
L’Américaine n’exclue pas totalement de monter sur scène, peut-être dès cet été. Si elle réussi à vaincre un trac apparemment difficilement surmontable.
Un clip parallèle pour leur single Violet Hill s’amuse avec W. et Tony Blair.
Le grand Tom Waits sera à l’affiche d’un prochain film de Terry Gilliam.
En maître d’orchestre follement agile et inventif, Desplechin dirige un ensemble de stradivarius dont il tire la quintessence. Epoustouflant.
Rien de révolutionnaire dans cette fresque qui sonne faux. Laetitia Casta s’en sort, elle, avec les honneurs.
Pas de surprise, pas d’enjeu, mais beaucoup de plaisir dans ce quatrième volet. Spielberg est parfait, Indy a un peu vieilli, mais on lui dit oui !