ARCHIVES DE Mars 2007
Articles du 06 Mars 2007
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
La comédienne revient au cinéma en réalisant une comédie
conceptuelle, drôle et tendre, sur l’inquiétude. Une vraie réussite.
La nouvelle de leur signature aux Etats-Unis, pour un album, sur la major Warner avait rendue évidente la venue prochaine d?un nouveau disque des White Stripes.
Grinderman, nouveau projet rock réunissant Nick Cave et quelques-uns de ses acolytes des Bad Seeds, se donne à voir sur lesinrocks.com avec le clip de No Pussy Blues, extrait de l’album éponyme du groupe.
Suite à la sortie, en août 2006, de son deuxième album Tearing Sky, l?artiste italo-britannique à la voix si captivante donnera une série de concerts en France qui débutera au printemps.
Après le succès de Végétal, sorti en 2006, la jolie plante vient de sortir un CD live de sa tournée.
Petit prodige de la pop aérienne et du songwriting flamboyant, Jeremy Warmsley, découvert il y a quelques mois sur le podcast des inrocks.com, livre un album poignant digne des plus grands.
C’est devant un Bataclan comble et surexcité que l’insolente poupée de la power-pop britannique débarque sur scène, clope au bec, baskets aux pieds, et robe noire de petite fille sage en prime. Lily Allen arrive en terrain conquis, mais se montre bien décidée à s’acoquiner, en deux gloussements enfantins, un public déjà réjoui.