ARCHIVES DE Mars 2007
Articles du 27 Mars 2007
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Trois ans après l?excellent Teaser for : Matter, le deuxième album des Stéphanois d?Angil & The Hiddentracks, Oulipo Saliva, sera dans les bacs le 2 mai.
L?américain Jimmy Tamborello, électronicien qui a publié sous les noms de DNTEL ou James Figurine et est également connu pour être la moitié du duo Postal Service, publie un nouvel album sous son premier pseudonyme.
Plus de quinze ans après leur dernier album, Yes, please, les mancuniens allumés s?apprêtent à sortir un nouvel opus.
Les texans fignolent leur sixième album.
LE FILM : Il y a de tout et du n’importe quoi dans le premier long “traditionnel” du hardeur HPG : du sensé et de l’insensé, à boire et à manger, du lard et du cochon, du pire et du meilleur, des torchons et des serviettes. Tout et n’importe quoi. Dans une mise en scène hystérique, […]
Une adaptation pertinente du monde de Philip K. Dick.
Un film d’horreur anglais seventies, nihiliste dans sa vision et d’une laideur expressive dans sa forme.
Deux films pour (re)découvrir l’univers drôle, politique et poétique d’un cinéaste bourré d’humanité.
De ces deux trajectoires, laquelle est la plus mystérieuse : ne plus aimer quelqu’un qu’on a aimé, ou finir par aimer quelqu’un qu’on n’aimait pas ? Puisque les quelque 2500 signes ici accordés ne suffisent pas pour répondre à cette question (la finesse requiert de la longueur, dit-on), on peut la réduire à celle de […]