ARCHIVES DE Juillet 2000
Articles du 04 Juillet 2000
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Acteur en caoutchouc à l’hystérie pénible et aux vannes puériles lors de ses premiers triomphes, Jim Carrey commença à intriguer avec le malade The Cable guy, où son jeu incroyablement physique et dérangeant impressionnait pour la première fois. Devenu grand acteur chez Milos Forman pour Man on the moon, il renoue avec le comique outrancier dans le tordant Fous d’Irène, où son inventivité et son contrôle unique de chaque muscle facial font mouche. A merde.
Badly Drawn Boy s’impose, dès son premier album, comme l’une des plumes les plus conséquentes et libres d’Angleterre. Attendu depuis trois ans et une poignée de singles prometteurs, The Hour of bewilderbeast confirme : même mal dessiné, ce garçon est animé de nobles desseins.
Acteur en caoutchouc à l’hystérie pénible et aux vannes puériles lors de ses premiers triomphes, Jim Carrey commença à intriguer avec le malade The Cable guy, où son jeu incroyablement physique et dérangeant impressionnait pour la première fois. Devenu grand acteur chez Milos Forman pour Man on the moon, il renoue avec le comique outrancier dans le tordant Fous d’Irène, où son inventivité et son contrôle unique de chaque muscle facial font mouche.
Un mythe, un ermite : les deux mots reviennent en boucle à propos de Françoise Hardy, pourtant sortie triomphalement de sa réserve ce printemps avec Clair obscur, album tamisé qui vaut désormais de l’or. Depuis qu’elle ne fait plus du rock, Françoise est redevenue hardie.
Armée de sa curiosité et d’une caméra numérique, Agnès Varda est partie sur les routes de France filmer les diverses façons et raisons de glaner. Elle en a rapporté "Les Glaneurs et la glaneuse", remarquable documentaire routard qui raconte la violence sociale de notre société du gaspillage, mais aussi le plaisir de la collecte. La cinéaste chineuse commente ici quelques images et documents du film.
agnès b. styliste et bientôt cinéaste
Qui de mieux qu’Agnès Varda elle-même pour commenter quelques images et documents de son film les Glaneurs et la glaneuse ?