ARCHIVES DE Avril 1999
Articles du 27 Avril 1999
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
En offrant une tribune libre aux vétérans et aux nouvelles têtes chercheuses du hip-hop, le label Rawkus émerveille. Le marché du hip-hop américain fonctionne désormais à deux vitesses : d’un côté le “mainstream” pour les masses et de l’autre “l’underground” pour les vrais amateurs. A l’enseigne d’une myriade de petits labels indépendants, “l’underground” est devenu […]
On découvre en France le charme concret d’Asia Argento grâce à New Rose Hotel. Mais la fille du cinéaste Dario est déjà une figure publique à la réputation sulfureuse en Italie, ayant joué dans une douzaine de films depuis ses 9 ans.
De Venise à New York, nous avons essayé d’interviewer « sérieusement » Abel Ferrara à propos de New Rose Hotel. Si l’entretien « normal » s’est avéré quasiment infaisable, nous avons en revanche côtoyé un personnage attachant, certes chaotique, mais dont la déglingue masque une sorte d’extralucidité faisant tout le prix de son uvre de cinéaste.
Une flopée de navets et de films de série, une dizaine de chefs-d’ uvre certifiés: telle est jusqu’à aujourd’hui l’étrange carrière de Christopher Walken, enfant de la balle de Broadway, formidable monstre expressionniste, acteur culte des cinéphiles mais méconnu du grand public américain. Avec New Rose Hotel, Abel Ferrara pousse ce mutant dans ses derniers retranchements.
Pour son dernier triptyque, la chorégraphe Maguy Marin renoue avec le silence implicite du geste. Plus proche du peintre que du metteur en scène de théâtre.