ARCHIVES DE Mars 1998
Articles du 25 Mars 1998
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Tes chansons donnent souvent l’impression d’avoir été écrites comme des histoires courtes. En es-tu amateur ? Je me suis lancé dans l’écriture de livres longtemps avant d’enregistrer des chansons. Mais l’écriture est un travail qui demande une discipline que je ne possède pas, si bien que tous ces projets s’entassent sur un bureau chez moi […]
Devenu un notable anglais après le triomphe massif de Different class il y a deux ans, Pulp a depuis traversé les turbulences : départ d’un guitariste pilier historique, conception difficile d’un nouvel album. Alors que sort le grave et gonflé This is hardcore, Jarvis Cocker explique, dans un entretien outrageusement personnel, comment il a sauvé son groupe : en enfermant son exubérant double hors du studio, en revenant sur terre. Et en faisant du vélo.
Alors que son Secret Défense est à l’affiche, Jacques Rivette passe en revue une poignée de films actuels, de Titanic à Volte/Face. Celui qui fut un critique d’une précision et d’une rigueur extrêmes demeure aujourd’hui un spectateur compulsif, l’un des rares cinéastes dévorant quasiment tout ce qui sort sur un écran chaque semaine.
Alors que la tension israélo-palestinienne ne quitte pas la une de l’actualité et que sort Devarim, beau portrait de Tel-Aviv et de la génération perdue des 30-40 ans, rencontre avec le cinéaste Amos Gitaï : un artiste engagé et chercheur de formes. L’un des rares auteurs de cinéma israéliens, proche de ses confrères palestiniens mais loin d’être prophète en son pays.
Après le cirque et le théâtre de rue, la marionnette reprend du poil de la bête.
Riche idée que de remettre en selle Mettre en Scène, festival disparu depuis quelques saisons.
Dans un sous-sol, Véronique Boudier conçoit une balade inquiétante : une atmosphère cérébrale et organique.
Les lois de la gravité. Doillon organise un curieux marivaudage, aussi séduisant qu’agaçant, entre Théorème de Pasolini et Club des Cinq. Trop (peu) d’amour est un film fondé sur le principe de l’attraction/répulsion, principe qui opère ici autant à l’intérieur de l’action que du point de vue du spectateur. Emma, pivot dévastateur de l’histoire, est […]